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ATOUM – Un si bel objet
320 pages Format : 15 x 22 cm
Une saga romanesque qui vous entraîne de Paris à Venise, de New York à Louxor…
“Si Bertrand a dirigé ma vie, ma mort ne lui appartiendra pas. Je suis enfin libre, libre de mourir à ma guise”.
À l’instant où Céline sent sa vie l’abandonner, seule issue possible pour se libérer des griffes d’un époux tyrannique, les doutes la submergent.
Elle avait tout pour être heureuse. Sa passion pour l’égyptologie aurait dû la libérer de sa prison dorée et de son rôle de poupée de porcelaine que l’on est fier d’exhiber.
Humiliée par un mari qui lui cache un terrible secret, elle était prête à tout supporter… jusqu’à ce que son univers bascule
ATOUM – Un si bel objet
320 pages Format : 15 x 22 cm
Une saga romanesque qui vous entraîne de Paris à Venise, de New York à Louxor…
“Si Bertrand a dirigé ma vie, ma mort ne lui appartiendra pas. Je suis enfin libre, libre de mourir à ma guise”.
À l’instant où Céline sent sa vie l’abandonner, seule issue possible pour se libérer des griffes d’un époux tyrannique, les doutes la submergent.
Elle avait tout pour être heureuse. Sa passion pour l’égyptologie aurait dû la libérer de sa prison dorée et de son rôle de poupée de porcelaine que l’on est fier d’exhiber.
Humiliée par un mari qui lui cache un terrible secret, elle était prête à tout supporter… jusqu’à ce que son univers bascule
C’est un roman captivant qui expose le régime totalitaire de Bashar Assad en Syrie avant la guerre civile tout en racontant l’histoire de Zaïda, une adolescente particulièrement attachante qui, après la séparation de ses parents, souhaite fusionner deux cultures, l’une syrienne et l’autre britannique.
Virginia, la mère de Zaïda, travaille en Grande-Bretagne dans une clinique d’acupuncture familiale criblée de dettes. Elle a épousé Khalid, le fils de réfugiés musulmans syriens, arrivé à Leicester lors de ses dix ans. Après leur divorce, il est retourné dans son pays pour y rejoindre les siens.
À contrecœur, Virginia a autorisé sa fille à voyager en Syrie pour la première fois mais elle craint que son retour ne soit annulé par son père. Quels services juridiques faudrait-il contacter ? Elle prend les avis de son entourage dont ceux de son frère, un journaliste, en visite depuis Vancouver.
Zaïda, fascinée par l’histoire tourmentée de sa famille, tombe sous le charme de son père et de ses proches qui aimeraient la garder plus longtemps.
Suivant les conseils de son avocate, Virginia envoie son père et son frère à Damas où, au-delà des malentendus, les deux familles consolident leur amitié mais les choses tournent au cauchemar avec la police d’Assad – un suspense qui tient en haleine jusqu’au bout.
C’est un roman captivant qui expose le régime totalitaire de Bashar Assad en Syrie avant la guerre civile tout en racontant l’histoire de Zaïda, une adolescente particulièrement attachante qui, après la séparation de ses parents, souhaite fusionner deux cultures, l’une syrienne et l’autre britannique.
Virginia, la mère de Zaïda, travaille en Grande-Bretagne dans une clinique d’acupuncture familiale criblée de dettes. Elle a épousé Khalid, le fils de réfugiés musulmans syriens, arrivé à Leicester lors de ses dix ans. Après leur divorce, il est retourné dans son pays pour y rejoindre les siens.
À contrecœur, Virginia a autorisé sa fille à voyager en Syrie pour la première fois mais elle craint que son retour ne soit annulé par son père. Quels services juridiques faudrait-il contacter ? Elle prend les avis de son entourage dont ceux de son frère, un journaliste, en visite depuis Vancouver.
Zaïda, fascinée par l’histoire tourmentée de sa famille, tombe sous le charme de son père et de ses proches qui aimeraient la garder plus longtemps.
Suivant les conseils de son avocate, Virginia envoie son père et son frère à Damas où, au-delà des malentendus, les deux familles consolident leur amitié mais les choses tournent au cauchemar avec la police d’Assad – un suspense qui tient en haleine jusqu’au bout.
Au détour d’un chemin, se cache un château accoudé à une cascade.
C’est ici que je vous entraîne, dans ce lieu magique où j’aimais tant jouer enfant.
Revenez avec moi dans cette Creuse si chère à mon cœur, avec mes grands-parents, leurs amis et tous les personnages du coin.
Accompagnez-moi dans la forêt, à travers champs, au détour des fermes, empruntant le chemin du passé.
Venez avec moi vous perdre dans tous ces petits riens, ces « peu de choses » qui font des aventures extraordinaires et les plus beaux souvenirs d’enfance.
Je vous attends là, près d’un chêne, près des eaux de Noubiel pour vous narrer la suite du Prince de Creuse.
Au détour d’un chemin, se cache un château accoudé à une cascade.
C’est ici que je vous entraîne, dans ce lieu magique où j’aimais tant jouer enfant.
Revenez avec moi dans cette Creuse si chère à mon cœur, avec mes grands-parents, leurs amis et tous les personnages du coin.
Accompagnez-moi dans la forêt, à travers champs, au détour des fermes, empruntant le chemin du passé.
Venez avec moi vous perdre dans tous ces petits riens, ces « peu de choses » qui font des aventures extraordinaires et les plus beaux souvenirs d’enfance.
Je vous attends là, près d’un chêne, près des eaux de Noubiel pour vous narrer la suite du Prince de Creuse.
Creusoise d’origine, enseignante, Janine Nicoulaud avait fait précédemment des recherches sur les villas de Royan construites dans les années 1900.
Cette période fin XIXe, début XXe siècle appelée après la 1ère guerre mondiale “La Belle Époque” a vu se développer à Guéret comme dans les lieux de villégiature par exemple (stations balnéaires, thermales…) une architecture remarquable.
Si certaines villas tiraient leur originalité du décor polychrome de leurs façades (briques, poteries, cabochons, frises de céramiques influencées par l’Art Nouveau) d’autres, non moins pittoresques, faisaient référence aux styles historiques (néo-médiéval, néo-classique), régionaliste ou encore éclectique. Dans ce cas le mélange des styles participait à la singularité recherchée par les commanditaires.
Cet ouvrage souhaite faire découvrir la richesse architecturale de Guéret, la qualité de ses architectes et aussi parfois la personnalité de ses propriétaires.
Creusoise d’origine, enseignante, Janine Nicoulaud avait fait précédemment des recherches sur les villas de Royan construites dans les années 1900.
Cette période fin XIXe, début XXe siècle appelée après la 1ère guerre mondiale “La Belle Époque” a vu se développer à Guéret comme dans les lieux de villégiature par exemple (stations balnéaires, thermales…) une architecture remarquable.
Si certaines villas tiraient leur originalité du décor polychrome de leurs façades (briques, poteries, cabochons, frises de céramiques influencées par l’Art Nouveau) d’autres, non moins pittoresques, faisaient référence aux styles historiques (néo-médiéval, néo-classique), régionaliste ou encore éclectique. Dans ce cas le mélange des styles participait à la singularité recherchée par les commanditaires.
Cet ouvrage souhaite faire découvrir la richesse architecturale de Guéret, la qualité de ses architectes et aussi parfois la personnalité de ses propriétaires.
Ce livre relate mon enfance heureuse chez mes grands-parents dans un petit village creusois.
L’histoire est positive et pleine d’amour.
Un amour incommensurable pour mes grands-parents mais aussi un immense cri d’amour pour la Creuse que je décris à travers sa nature mais également avec des portraits authentiques de paysannerie qui me sont chers au cœur.
C’est un ouvrage drôle et touchant qui permettra au lecteur de se plonger dans mon histoire familiale tout en suscitant un intérêt pour cette terre si généreuse, souvent mal aimée qu’est ma Creuse.
Ce livre relate mon enfance heureuse chez mes grands-parents dans un petit village creusois.
L’histoire est positive et pleine d’amour.
Un amour incommensurable pour mes grands-parents mais aussi un immense cri d’amour pour la Creuse que je décris à travers sa nature mais également avec des portraits authentiques de paysannerie qui me sont chers au cœur.
C’est un ouvrage drôle et touchant qui permettra au lecteur de se plonger dans mon histoire familiale tout en suscitant un intérêt pour cette terre si généreuse, souvent mal aimée qu’est ma Creuse.
Ce livre souligne le caractère initiatique de certains évènements et restitue par l’analyse et la réflexion, la cohérence d’un parcours de vie. Dès lors, il nous oblige à donner sens à nos années de travail, mené dans un premier temps, en petits groupes, sur les chemins montagneux, pour ensuite se moduler dans des échanges plus informels. […]
Angela Merkel est un personnage de roman, elle dirige son pays depuis une génération déjà. Tout au long de sa vie, marquée par l’histoire, celle de la guerre, du communisme, de la partition et de la réunification de l’Allemagne, elle a dû franchir de nombreux obstacles avec une sérénité et une obstination hors du commun.
Il faut rendre hommage à une femme estimable, une femme de convictions dont l’empreinte restera pour longtemps dans les mémoires, une boussole morale pour l’Europe titrera le journal suisse Le Temps le 25 décembre 2020.
Helmut Kohl l’avait surnommée “Das Mädchen”, la jeune fille, la gamine, la jeune Ossie qui a marqué le début du XXIe siècle allemand et européen. Elle est à la fois la chancelière de l’arrêt du nucléaire, de la rigueur économique, de l’accueil des migrants, de la liberté et des valeurs démocratiques, du devoir de mémoire, de l’implication dans la difficile gestion de la pandémie. Le Liban, l’Afrique, le climat, les jeunes générations la passionnent, rien n’est fini, tout commence…
« Surprise yourself with what is possible »
Angela Merkel discours à Harvard USA mai 2019.
Angela Merkel est un personnage de roman, elle dirige son pays depuis une génération déjà. Tout au long de sa vie, marquée par l’histoire, celle de la guerre, du communisme, de la partition et de la réunification de l’Allemagne, elle a dû franchir de nombreux obstacles avec une sérénité et une obstination hors du commun.
Il faut rendre hommage à une femme estimable, une femme de convictions dont l’empreinte restera pour longtemps dans les mémoires, une boussole morale pour l’Europe titrera le journal suisse Le Temps le 25 décembre 2020.
Helmut Kohl l’avait surnommée “Das Mädchen”, la jeune fille, la gamine, la jeune Ossie qui a marqué le début du XXIe siècle allemand et européen. Elle est à la fois la chancelière de l’arrêt du nucléaire, de la rigueur économique, de l’accueil des migrants, de la liberté et des valeurs démocratiques, du devoir de mémoire, de l’implication dans la difficile gestion de la pandémie. Le Liban, l’Afrique, le climat, les jeunes générations la passionnent, rien n’est fini, tout commence…
« Surprise yourself with what is possible »
Angela Merkel discours à Harvard USA mai 2019.
“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
Egalement disponible en livre relié
“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
Egalement disponible en livre relié
“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
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“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
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40 ans de peinture
Occasion unique de découvrir une œuvre dans son déploiement, de la rencontre émerveillée initiale à l’épanouissement dans des événements exceptionnels qui ont marqué ces dernières années. Découvrir la continuité d’un style, immédiatement reconnaissable, reflet d’une personnalité dans laquelle l’énergie, le désir, la générosité et la douceur se conjuguent dans l’harmonie. Découvrir la création à chaque toile renouvelée, dans l’exigence constante «d’aller plus loin», plus loin dans la découverte, plus loin dans la technique, plus loin dans l’expression.
La création est essentiellement personnelle, nourrie d’un désir qui s’impose, mais qui ne réalise son sens que dans le partage et l’échange : l’artiste ouvre pour nous un monde, jusque-là inconnu ; elle reçoit de notre regard la justification de son geste.
40 ans de peinture
Occasion unique de découvrir une œuvre dans son déploiement, de la rencontre émerveillée initiale à l’épanouissement dans des événements exceptionnels qui ont marqué ces dernières années. Découvrir la continuité d’un style, immédiatement reconnaissable, reflet d’une personnalité dans laquelle l’énergie, le désir, la générosité et la douceur se conjuguent dans l’harmonie. Découvrir la création à chaque toile renouvelée, dans l’exigence constante «d’aller plus loin», plus loin dans la découverte, plus loin dans la technique, plus loin dans l’expression.
La création est essentiellement personnelle, nourrie d’un désir qui s’impose, mais qui ne réalise son sens que dans le partage et l’échange : l’artiste ouvre pour nous un monde, jusque-là inconnu ; elle reçoit de notre regard la justification de son geste.
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