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Angela Merkel est un personnage de roman, elle dirige son pays depuis une génération déjà. Tout au long de sa vie, marquée par l’histoire, celle de la guerre, du communisme, de la partition et de la réunification de l’Allemagne, elle a dû franchir de nombreux obstacles avec une sérénité et une obstination hors du commun.
Il faut rendre hommage à une femme estimable, une femme de convictions dont l’empreinte restera pour longtemps dans les mémoires, une boussole morale pour l’Europe titrera le journal suisse Le Temps le 25 décembre 2020.
Helmut Kohl l’avait surnommée “Das Mädchen”, la jeune fille, la gamine, la jeune Ossie qui a marqué le début du XXIe siècle allemand et européen. Elle est à la fois la chancelière de l’arrêt du nucléaire, de la rigueur économique, de l’accueil des migrants, de la liberté et des valeurs démocratiques, du devoir de mémoire, de l’implication dans la difficile gestion de la pandémie. Le Liban, l’Afrique, le climat, les jeunes générations la passionnent, rien n’est fini, tout commence…
« Surprise yourself with what is possible »
Angela Merkel discours à Harvard USA mai 2019.
Angela Merkel est un personnage de roman, elle dirige son pays depuis une génération déjà. Tout au long de sa vie, marquée par l’histoire, celle de la guerre, du communisme, de la partition et de la réunification de l’Allemagne, elle a dû franchir de nombreux obstacles avec une sérénité et une obstination hors du commun.
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Helmut Kohl l’avait surnommée “Das Mädchen”, la jeune fille, la gamine, la jeune Ossie qui a marqué le début du XXIe siècle allemand et européen. Elle est à la fois la chancelière de l’arrêt du nucléaire, de la rigueur économique, de l’accueil des migrants, de la liberté et des valeurs démocratiques, du devoir de mémoire, de l’implication dans la difficile gestion de la pandémie. Le Liban, l’Afrique, le climat, les jeunes générations la passionnent, rien n’est fini, tout commence…
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Angela Merkel discours à Harvard USA mai 2019.
“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
Egalement disponible en livre relié
“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
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