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Catherine MORDIN, Pierre Shasmoukine,
GORODKA (EPUB)
by: Catherine MORDIN, Pierre Shasmoukine,“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
Egalement disponible en livre relié
12,00€
“S’il existait un concours Lépine du tourisme, il faudrait le décerner à Pierre Shasmoukine, artiste multicarte, fondateur d’un village imaginé de toutes pièces près de Sarlat. Le domaine de 2 hectares sur lequel il est installé n’a rien d’une illusion d’optique : 8 galeries d’art, des parcours lumineux, plus de 500 œuvres à contempler, des ateliers, des artistes en résidence et des hébergements atypiques y ont pris place. Armé de ses deux bras, Pierre Shasmoukine a tout fait lui-même. L’affaire lui aura pris une quarantaine d’années. À ce stade, on peut dire que rien ne lui est étranger. C’est un touche-à-tout génial, inénarrable et sans doute ingérable, mais qui gagne à être connu. Tour à tour peintre, poète, sculpteur, animateur « transsocial », tantôt agriculteur, tantôt « anarchitecte », et pourquoi pas les deux en même temps, il crée en 1978 la première ONG sur ce qu’on n’appelait pas encore le développement durable. En 84, ouverture au public de la première galerie au public en espace rural, prélude à toute une série d’événements, folies plastiques, sculptures géantes cinétiques et luminescentes.”
Journaliste Denise Cabelli – Locations insolites.
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