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Le 10 juin 1944 les habitants du village d’Oradour furent assassinés sans discrimination par les troupes de la SS allemande dans ce qui fut un des pires crimes de guerre nazis perpétré dans la France occupée.
Parmi les 643 victimes, en majorité des femmes et des enfants, on a compté 19 réfugiés espagnols : 11 garçons et filles, 6 femmes, 2 hommes.
La mémoire de ces familles est récupérée 75 ans après.
Le 10 juin 1944 les habitants du village d’Oradour furent assassinés sans discrimination par les troupes de la SS allemande dans ce qui fut un des pires crimes de guerre nazis perpétré dans la France occupée.
Parmi les 643 victimes, en majorité des femmes et des enfants, on a compté 19 réfugiés espagnols : 11 garçons et filles, 6 femmes, 2 hommes.
La mémoire de ces familles est récupérée 75 ans après.
Jeanne et Mario ont traversé plusieurs guerres et leur amour va être contrarié par celle d’Algérie.
Ils devront faire face à la solitude, l’angoisse, parfois le désespoir, en étant séparés.
C’est par courriers interposés qu’ils vont se parler, d’amour, de leurs espérances et qu’ils arriveront à construire leur avenir.
Puis Jeanne confrontée au deuil écrira de nouveau à son mari, lui faisant partager, ses joies, ses peines, ses combats.
Leur histoire est celle de l’humanité, leur victoire celle de l’amour.
Plus tard, quand tout sera fini, que leurs âmes se seront envolées, qu’il faudra vider leur appartement, leur fille trouvera en héritage leurs correspondances.
En devoir de mémoire pour eux et auprès des générations futures, un roman verra le jour.
Car écrire, nous dit l’autrice, c’est Aimer.
Jeanne et Mario ont traversé plusieurs guerres et leur amour va être contrarié par celle d’Algérie.
Ils devront faire face à la solitude, l’angoisse, parfois le désespoir, en étant séparés.
C’est par courriers interposés qu’ils vont se parler, d’amour, de leurs espérances et qu’ils arriveront à construire leur avenir.
Puis Jeanne confrontée au deuil écrira de nouveau à son mari, lui faisant partager, ses joies, ses peines, ses combats.
Leur histoire est celle de l’humanité, leur victoire celle de l’amour.
Plus tard, quand tout sera fini, que leurs âmes se seront envolées, qu’il faudra vider leur appartement, leur fille trouvera en héritage leurs correspondances.
En devoir de mémoire pour eux et auprès des générations futures, un roman verra le jour.
Car écrire, nous dit l’autrice, c’est Aimer.
Tout un monde imaginaire où la magie des mots permet à l’indicible de s’exprimer à travers de courtes nouvelles et de contes fantastiques.
Mi-femme mi-fée, l’auteure y pose son regard intemporel.
Tout un monde imaginaire où la magie des mots permet à l’indicible de s’exprimer à travers de courtes nouvelles et de contes fantastiques.
Mi-femme mi-fée, l’auteure y pose son regard intemporel.
Séraphine est la plus gentille des tortues terrestres.
Elle est très aimée de son entourage et tellement heureuse.
Un jour elle se laisse tenter par l’aventure et s’envole avec le ballon jaune.
Une nouvelle vie va-t-elle commencer pour elle sans ses amies ?
Séraphine est la plus gentille des tortues terrestres.
Elle est très aimée de son entourage et tellement heureuse.
Un jour elle se laisse tenter par l’aventure et s’envole avec le ballon jaune.
Une nouvelle vie va-t-elle commencer pour elle sans ses amies ?
Mathieu, jeune néorural, a quitté la ville pour s’installer en Creuse, guidé par une envie de paix et de tranquillité. Fraîchement installé dans le village de Chénérailles, quelle ne fut pas sa désillusion quand il fut pris un bon matin dans un ouragan de folie collective par les habitants de ce coin de campagne laissé-pour-compte.
Caliel-Arion jeune auteur remarqué du « Prince de Creuse 1 et 2 », signe ici son premier roman de fiction. À la croisée de « Knock » et de « P’tit Quinquin », « La farce Creusoise » est une comédie burlesque et acerbe qui pointe du doigt sans ménagement la désertification de nos campagnes et bien d’autres choses encore…
Mathieu, jeune néorural, a quitté la ville pour s’installer en Creuse, guidé par une envie de paix et de tranquillité. Fraîchement installé dans le village de Chénérailles, quelle ne fut pas sa désillusion quand il fut pris un bon matin dans un ouragan de folie collective par les habitants de ce coin de campagne laissé-pour-compte.
Caliel-Arion jeune auteur remarqué du « Prince de Creuse 1 et 2 », signe ici son premier roman de fiction. À la croisée de « Knock » et de « P’tit Quinquin », « La farce Creusoise » est une comédie burlesque et acerbe qui pointe du doigt sans ménagement la désertification de nos campagnes et bien d’autres choses encore…
Nos enfants. Il y a ce qu’on veut leur transmettre et il y a tout ce qui nous échappe.
Je les regarde vivre, ils sont jeunes adultes. Dans quelques années ils quitteront le berceau familial, en construiront un à eux, transmettront à leur tour.
Y aura-t-il des images manquantes pour eux aussi ? Si oui, cette « image retrouvée » les délivrera peut-être d’autres qui pourraient les tromper. L’image n’est pas souveraine en matière de vérité. Elle ment souvent, comble notre imaginaire, est sujette à de multiples interprétations.
J’ai écrit ce livre pour eux, contre le mensonge, le déni et l’oubli, pour leur dire que la mémoire est une force.
Camille Jean est bibliothécaire et réalisateur. L’image retrouvée est son premier roman.
Nos enfants. Il y a ce qu’on veut leur transmettre et il y a tout ce qui nous échappe.
Je les regarde vivre, ils sont jeunes adultes. Dans quelques années ils quitteront le berceau familial, en construiront un à eux, transmettront à leur tour.
Y aura-t-il des images manquantes pour eux aussi ? Si oui, cette « image retrouvée » les délivrera peut-être d’autres qui pourraient les tromper. L’image n’est pas souveraine en matière de vérité. Elle ment souvent, comble notre imaginaire, est sujette à de multiples interprétations.
J’ai écrit ce livre pour eux, contre le mensonge, le déni et l’oubli, pour leur dire que la mémoire est une force.
Camille Jean est bibliothécaire et réalisateur. L’image retrouvée est son premier roman.
Tout a commencé parce que deux très jeunes filles avaient besoin de gagner leur vie, et parce qu’elles ne savaient que broder, et très peu broder… quelque chose de très fin et de très petit dans le coin d’un mouchoir.
Et parce que je ne savais que dessiner… et encore ! Et parce que nous avions tout juste un petit don d’argent d’une dame très gentille.
Or nous avions fait faire, pour cacher la lèpre des murs immenses de la résidence Consulaire, des tentures comme les hindous du sud en mettent sur leurs chars sacrés, lors des pèlerinages.
Ces tentures par appliques de cotonnades souvent grossières représentent le Panthéon Hindou. Tout le chic réside dans le grouillement des sujets humains, animaux ou floraux ; dans l’art du petit détail, dans la composition en rosace, dans les couleurs violentes et contrastées mais vibrantes, très habilement alternées de noir et de blanc.
À vrai dire, je n’aimais pas tellement ces tentures au début (…)
Par contre, la technique me fascinait. Je me demandais, comment, pour si peu d’argent, les artisans avaient pu nous confectionner ces tentures qui représentaient un travail gigantesque.
Nicole Durieux
Tout a commencé parce que deux très jeunes filles avaient besoin de gagner leur vie, et parce qu’elles ne savaient que broder, et très peu broder… quelque chose de très fin et de très petit dans le coin d’un mouchoir.
Et parce que je ne savais que dessiner… et encore ! Et parce que nous avions tout juste un petit don d’argent d’une dame très gentille.
Or nous avions fait faire, pour cacher la lèpre des murs immenses de la résidence Consulaire, des tentures comme les hindous du sud en mettent sur leurs chars sacrés, lors des pèlerinages.
Ces tentures par appliques de cotonnades souvent grossières représentent le Panthéon Hindou. Tout le chic réside dans le grouillement des sujets humains, animaux ou floraux ; dans l’art du petit détail, dans la composition en rosace, dans les couleurs violentes et contrastées mais vibrantes, très habilement alternées de noir et de blanc.
À vrai dire, je n’aimais pas tellement ces tentures au début (…)
Par contre, la technique me fascinait. Je me demandais, comment, pour si peu d’argent, les artisans avaient pu nous confectionner ces tentures qui représentaient un travail gigantesque.
Nicole Durieux
En 2003 au cours de ma première croisière en Arctique avec Catherine, plus précisément au Svalbard, la lecture du livre de Fridtjof Nansen relatant son épopée à bord du navire Fram et son périple avec Fredrik Hjalmar Johnansen vers le pôle Nord, nous fit découvrir un nouveau monde après celui des océans que nous connaissions en plongée sous-marine.
La lecture d’autres livres dont celui de l’expédition perdue de John Franklin parti à la recherche du passage du Nord-Ouest, celui relatant le drame du Karluk etc. m’incitèrent à en savoir plus sur ces hommes, ces femmes et leurs découvertes.
Ce fut donc la révélation du blanc de la banquise, des glaciers après le bleu des océans et dès lors je cherchai à en savoir plus sur l’Arctique, toit du monde, sur les hommes qui en ont fait la découverte et ceux qui l’habitent depuis des temps immémoriaux.
En 2003 au cours de ma première croisière en Arctique avec Catherine, plus précisément au Svalbard, la lecture du livre de Fridtjof Nansen relatant son épopée à bord du navire Fram et son périple avec Fredrik Hjalmar Johnansen vers le pôle Nord, nous fit découvrir un nouveau monde après celui des océans que nous connaissions en plongée sous-marine.
La lecture d’autres livres dont celui de l’expédition perdue de John Franklin parti à la recherche du passage du Nord-Ouest, celui relatant le drame du Karluk etc. m’incitèrent à en savoir plus sur ces hommes, ces femmes et leurs découvertes.
Ce fut donc la révélation du blanc de la banquise, des glaciers après le bleu des océans et dès lors je cherchai à en savoir plus sur l’Arctique, toit du monde, sur les hommes qui en ont fait la découverte et ceux qui l’habitent depuis des temps immémoriaux.
Le livre Découverte de l’Arctique Chronologie Historique Illustrée vous invite à partir sur les traces des hommes et femmes qui contribuèrent à la connaissance de l’Arctique.
De 330 avant J-C (Pythéas) jusqu’à la moitié du XXe siècle vous découvrirez leurs expéditions, les unes couronnées de succès, d’autres tragiques à la recherche du pôle Nord, du passage du Nord-Ouest, des populations etc.
Au travers des 500 expéditions illustrées de 860 photos les 600 explorateurs nous projettent au fil des années dans un monde polaire bien différent de celui que nous connaissons aujourd’hui, conséquence du changement climatique.
Pourquoi ce livre ?
En 2003 au cours de ma première croisière en Arctique avec Catherine, plus précisément au Svalbard, la lecture du livre de Fridtjof Nansen relatant son épopée à bord du Fram et son périple avec Fredrik Hjalmar Johnansen pour atteindre le pôle Nord nous fit découvrir un nouveau monde après celui des océans que nous connaissions en plongée sous-marine.
La lecture d’autres livres dont celui de l’expédition perdue de John Franklin parti à la recherche du passage du Nord-Ouest, celui relatant le drame du Karluk etc., m’incitèrent à en savoir plus sur ces hommes, ces femmes et leurs découvertes.
Ce fut la révélation du blanc de la banquise, des glaciers après le bleu des mers ; je cherchai alors à en savoir plus sur l’Arctique, toit du monde, sur les hommes qui en firent la découverte et ceux qui l’habitent depuis des temps immémoriaux.
Le livre Découverte de l’Arctique Chronologie Historique Illustrée vous invite à partir sur les traces des hommes et femmes qui contribuèrent à la connaissance de l’Arctique.
De 330 avant J-C (Pythéas) jusqu’à la moitié du XXe siècle vous découvrirez leurs expéditions, les unes couronnées de succès, d’autres tragiques à la recherche du pôle Nord, du passage du Nord-Ouest, des populations etc.
Au travers des 500 expéditions illustrées de 860 photos les 600 explorateurs nous projettent au fil des années dans un monde polaire bien différent de celui que nous connaissons aujourd’hui, conséquence du changement climatique.
Pourquoi ce livre ?
En 2003 au cours de ma première croisière en Arctique avec Catherine, plus précisément au Svalbard, la lecture du livre de Fridtjof Nansen relatant son épopée à bord du Fram et son périple avec Fredrik Hjalmar Johnansen pour atteindre le pôle Nord nous fit découvrir un nouveau monde après celui des océans que nous connaissions en plongée sous-marine.
La lecture d’autres livres dont celui de l’expédition perdue de John Franklin parti à la recherche du passage du Nord-Ouest, celui relatant le drame du Karluk etc., m’incitèrent à en savoir plus sur ces hommes, ces femmes et leurs découvertes.
Ce fut la révélation du blanc de la banquise, des glaciers après le bleu des mers ; je cherchai alors à en savoir plus sur l’Arctique, toit du monde, sur les hommes qui en firent la découverte et ceux qui l’habitent depuis des temps immémoriaux.
« Il faut parfois une séparation définitive pour que la vie bascule.
Cet abandon ressenti, cette solitude absolue ont eu raison de bien des certitudes du jeune homme d’alors, engagé du contingent en Algérie, en juillet 1962.
Une seule issue : aller de l’avant, dépasser cette douleur inextinguible, dévastatrice.
Ce livre relate une vie faite de désespoirs, d’espoirs, émouvante, nourrie de résiliences.
Jamais la révolte n’a quitté cet homme, qui a grandi à Belleville. Tour à tour ouvrier, syndicaliste, en charge des services sociaux à EDF, engagé en politique pour le parti socialiste à Montreuil, puis enfin maire de Saint-Sébastien en Creuse pendant 19 ans. C’est un homme qui a multiplié les engagements.
Lire ce livre, c’est embarquer dans une aventure particulière.
Lire ce livre, c’est faire le pari d’être amené à connaître nombre d’émotions qui raisonnent dans nos vies meurtries, parfois bien cabossées.
Un écrit biographique, poignant : Au reste, les mots sont nos vies ».
« Il faut parfois une séparation définitive pour que la vie bascule.
Cet abandon ressenti, cette solitude absolue ont eu raison de bien des certitudes du jeune homme d’alors, engagé du contingent en Algérie, en juillet 1962.
Une seule issue : aller de l’avant, dépasser cette douleur inextinguible, dévastatrice.
Ce livre relate une vie faite de désespoirs, d’espoirs, émouvante, nourrie de résiliences.
Jamais la révolte n’a quitté cet homme, qui a grandi à Belleville. Tour à tour ouvrier, syndicaliste, en charge des services sociaux à EDF, engagé en politique pour le parti socialiste à Montreuil, puis enfin maire de Saint-Sébastien en Creuse pendant 19 ans. C’est un homme qui a multiplié les engagements.
Lire ce livre, c’est embarquer dans une aventure particulière.
Lire ce livre, c’est faire le pari d’être amené à connaître nombre d’émotions qui raisonnent dans nos vies meurtries, parfois bien cabossées.
Un écrit biographique, poignant : Au reste, les mots sont nos vies ».